La maladie, depuis les premiers symptômes jusqu’à la guérison (mais elle n’est pas garantie), du point de vue de la personne souffrante comme de celui qui la soigne, a toujours inspiré les écrivains. Ses enjeux, depuis le « simple souci de santé » jusqu’à l’issue fatale, en font un sujet de choix pour des représentations analytiques, dramatiques, mélancoliques, voire politiques. En ligne de mire, une question : que peut la littérature quand le corps est défaillant ?

œuvres au programme (à lire obligatoirement AVANT le début du semestre)

Thomas MANN, La Montagne magique (1924)
Alexandre SOLJENITSYNE, Le Pavillon des cancéreux (1968)
Martin WINCKLER, Les trois médecins (2005)